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 Si je suis hospitalisé,qui s’occupera de mon animal ?

Que vous ayez la santé fragile ou que vous soyez en pleine forme,

il peut malheureusement vous arriver d’être un jour hospitalisé(e).

Dans l’urgence, malgré tout l’amour que vous offrez au quotidien à votre chien ou chat, il n’est pas toujours évident de s’organiser pour qu’il soit correctement pris en charge.

C’est pourquoi il est important d’y penser avant que cela n’arrive.

Heureusement, des solutions existent !

Une prise en charge par certains assureurs

Si l’état ne propose pas d’aide financière pour la garde de vos animaux en cas d’hospitalisation, certaines assurances, elles, prévoient des contrats adaptés à cette situation. En effet, les mutuelles de santé, assurances animaux, assurances multirisques habitation ou encore assurances « garantie de la vie » proposent pour une partie d’entre elles des options permettant de prendre en charge les moyens que cela implique. Cela peut aller d’un simple remboursement de frais à la recherche d’une pension ou même au transport de vos compagnons selon le contrat choisi initialement.

Des conditions particulières

Attention : les assureurs requièrent des conditions particulières pour que la prise en charge soit effectuée. Veillez donc à bien lire les petites lignes de votre contrat. Il peut s’agir d’une durée minimum d’hospitalisation (généralement 48 heures), d’un montant spécifique (jusqu’à 200 euros par an) ou des qualifications du professionnel choisi pour la garde de vos animaux.

Préférez toujours un prestataire reconnu par l’état (notamment grâce à l’obtention du Certificat de Capacité Professionnelle), formé et ayant souscrit à une assurance en Responsabilité Civile Professionnelle. Enfin, demandez bien à votre assureur si votre animal fait partie des espèces prises en charge. Certains n’acceptent que les chiens et les chats, d’autres peuvent inclure les furets, les rongeurs et même les oiseaux.

Comment choisir son contrat

Le plus simple est de demander ce que vos assurances actuelles (santé, habitation, animaux) peuvent vous proposer en cas d’hospitalisation. Si celles-ci ne couvrent pas ce genre de situation, n’hésitez pas à passer par un comparateur d’assurances ou à démarcher vous-mêmes plusieurs organismes.

Une solution de repli

Evidemment, pour le bien-être de votre animal, il ne serait pas juste de ne compter que sur le financement proposé par une assurance. Faîtes en sorte de pouvoir avant tout être secondé par des proches de confiance, au moins pour une solution à court terme.

Cette fiche d’information vous a été proposée par L’Arche de Laurie, prestataire spécialisé dans la garde, les promenades et les visites à domicile des animaux de compagnie.

06 59 53 23 31     

larchedelaurie@gmail.com   http://www.larchedelaurie.fr/   43 800 Lavoûte-sur-Loire

SIRET : 751 558 313 00019

Obtention du Certificat de Capacité Animaux Domestiques le 09/11/2011

Une trousse de premiers secours vous permettra de dispenser à votre animal des soins simples et immédiats en cas de besoin. N'hésitez pas à vous adresser à votre vétérinaire et dans tous les cas veillez à emporter :​

- son carnet de santé,

- une solution antiseptique (bétadine),

- des compresses stériles,

- des bandes et du sparadrap,

- une pince à tiques,

- des seringues (pour rincer une plaie sous pression, pour le réhydrater...)

- du sérum physiologique, essentiel pour rincer une plaie, ou un oeil...

- et du smecta! (diarrhée).

On peut rajouter également, une paire de gants en latex et un thermomètre.

Mais attention, ne donner jamais un anti inflammatoire humain (paracétamol ou ibuprophène) à votre animal! La pharmacie humaine est très dangereuse pour nos animaux domestiques qui n'assimilent pas les molécules comme nous et surtout dû à l'inadaptation de la dose!

Comme le laisse deviner son nom, sa robe à la couleur d'un cigare cubain, une belle teinte unie brun châtaigne qu'il est le seul à porter dans l'espèce féline. Il la doit à la baronne von Ulmann, qui vers 1950, eut l'idée de croiser une belle chatte siamois noire avec un siamois seal point. Des européens de poil noir et surtout des siamois porteurs du gène chocolat contribuèrent ensuite à fixer cette race reconnue en 1958.

Réputé comme affectueux et intelligent, le havana est aussi un chat vif, joueur et jamais agressif. Mais de ses ancêtres siamois, il a conservé cette distance altière (manifeste du dédain) qu'ils savent si bien installer entre eux et les étrangers.

Moins bavard que le siamois dont il n'a pas la forte voix, le havana est un compagnon idéal pour peu qu'on sache lui manifester attention et tendresse.

Côté entretien, un brossage hebdomadaire suffit à préserver la beauté de sa robe courte et soyeuse.

Des politiques de sélection divergentes en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis ont abouti à 2 standards. Le havana britannique possède un corps plus longiligne que celui de son frère américain. Mais tous deux possèdent un regard vert dont l'intensité lumineuse est inoubliable.

A la fin des années 90, le croisement d'un havana avec un serval, chat sauvage d'Afrique à la robe tachetée et haut sur pattes, a donné naissance au savannah, une nouvelle race reconnue pour sa beauté et sa gentillesse.

Ce chien là n'a peur de rien! Autant dire que la belle force tranquille de ce compagnon dévoué est précieuse et réconfortante.

Dans les Pyrénées, on l'appelle patou. Un nom absolument charmant pour ce chien imposant à fourrure blanche qui dégage à la fois force et douceur. On se sent en sécurité auprès de lui, tout comme les moutons qu'il protégeait des loups et des ours au temps des grandes transhumances dans les hauts pâturages des Pyrénées. Il a retrouvé toute son utilité dans cette activité du fait du retour récent de ces prédateurs dans certaines de nos contrées. Par tradition, il surveillait les troupeaux en compagnie du berger des Pyréées qui, lui, avait pour mission de rassembler les bêtes et de ramener les brebis égarées. Pour éviter que les loups ne l'égorgent, le montagne portait un collier en fer articulé et muni de pointes tournées vers l'extérieur. Ainsi équipé, il menait ses rondes de nuit avec vigilance et courage tandis que le troupeau et le berger dormaient traquilles

Ses qualités de chien de garde et de protection le placent parmi les meilleurs de sa catégorie. Il s'est aussi révélé efficace dans d'autres affectations pour venir en aide aux hommes. Chien sauveteur, chien guide et même chien ravitailleur pour les habitants d'un village enfoui sous la neige...Le dévouement du montagne n'a pas de limites. On sait grâce à des documents datant du XVIIe siècle qu'il était alors employé à la garde des châteaux dans les vallées de l'Ariège et de la Garonne. On reconnaît sa présence lorsqu'il veille sur un domaine à ses aboiemets sourds et très sonores. Il n'en fait cependant pas un usage excessif.

Comme chien de compagnie, c'est un animal paisible, affectueux et doux avec les enfants. Mais ce costaud, d'une cinquantaine de kg a besoin de beaucoup d'espace. Beau et majestueux, il a un caractère bien trempé qui nécessite une éducation ferme dès son plus jeune âge.

"Le chat diffère du chien qui vit au sein de groupes sociaux où les individus s'appuient les uns sur les autres pour la chasse et la défense. Le chat, lui, a évolué en chasseur solitaire et s"est habitué à vivre seul. Il ne travaille pas en groupe, il lui est donc difficile de suivre les règles des humains. En bref, un chat reste dans un groupe s'il sent qu'il en retire quelque chose de positif. Si ce n'est pas le cas, il choisit simplement de ne pas y participer. C'est pourquoi les méthodes de dressage utilisées pour modifier le comportement des chiens n'ont aucun effet sur le chat car il a moins le désir d'obéir pour faire partie de la horde. S'il se sent mal à l'aise, il revient à la vie solitaire et il peut marquer son désaccord en urinant ou en adoptant un comportement désagréable. Sa préférence pour la vie individualiste ne veut pas dire qu'il n'est pas sociable : il l'est mais différemment. La complexité de la vie sociale des chats vous décontenancera peut-être. La vérité est que les règles sociables des chats varient selon ce qu'ils sont en train de faire, la manière dont ils ont grandi et des possibilités que leur offre leur environnement. Votre chat peut cohabiter avec d'autres chats, mais ils n'appartiendront pas tous forcément au même "groupe social". Chez les chats sauvages, les mâles en âge de se reproduire vivent souvent seuls ou font partie d'un groupe de mâles. Généralement, un seul mâle reproducteur est associé à chaque groupe de femelles. Les femelles issues d'une même heure vivent souvent ensemble. Elles s'entraident pour élever les chatons, partage le toilettage et la chasse. Ces structures sociales naturelles peuvent vous aider à organiser des groupes et à comprendre les conflits qui y naissent."

D'après le livre "Que faire si mon chat..." de C.Arrowsmith et F. Riccomini

Plusieurs explications.

Tout d'abord, il mangerait de l'herbe pour le plaisir. On voit bien d'ailleurs que notre animal sélectionne les herbes lorsqu'il a le choix. Certaines graminées ont leur préférence. Nos loulous adorent le chiendent et sont excités au plus haut point s'ils trouvent de la cataire. C'est cette dernière qui est la véritable "arbre à chat": elle aurait sur eux des effets hallucinatoires!

Ensuite, d'autres théories ont des connotations plus médicales: ils mâcheraient de l'herbe pour récupérer de l'acide folique, une substance indispensable à la formation des globules rouges.

Plus logique est l'hypothèse selon laquelle l'herbe sert de purge pour éliminer les boules de poil grâce à un vomissement salutaire. Cette herbe n'agit alors pas en tant que nutriment, mais par l'irritation qu'elle provoque dans l'estomac.

Attention tout de même car un chat atteint de gastrite ou de troubles digestifs a tendance à se comporter de la même manière, mais, loin de le guérir, l'herbe aggrave les vomissements.

Enfin, certaines herbes les attirent non par leur goût, mais par leur odeur. Il en est ainsi de la valériane. Certains maîtres très attentionnés installent dans le panier de leur animal un coussin bourré de cette plante. Il paraît que le chat adore ça!

" En novembre 2011, un nichoir (plate-forme métallique de 80cm de large sur 1m de long) a été installé sur le rocher d'Aiguilhe afin d'accueillir un oiseau rare, le faucon pèlerin. Cet oiseau niche essentiellement dans les cavités rocheuses, d'où sa présence dans les falaises sur les bords de la Loire et de l'Allier.

On dénombre désormais 18 couples en Haute-Loire [...]. Plus ecourageant encore : il y a cette année 28 jeunes faucons volants (issus des 18 couples) contre 15 en 2013. Ces opérations de comptage sont réalisées par des bénévoles de la LPO (Ligue de protection des oiseaux) mais sont aussi accessibles à tout individu désireux d'y participer (contacter Arlette Bonnet à Saint-Julien-Chapteuil).

A Aiguilhe, le faucon reste sur le rocher du mois d'août au mois de mars. Il migre ensuite à Peyredeyre (vallée de la Loire) pour la période de reproduction. Il se nourrit d'oiseaux de toutes tailles (du pinson à la corneille) mais aussi d'insectes voire de chauves-souris. Il aime particulièrement nicher dans les villes car la température y est plus douce et la nourriture plus abondante.

De plus, sa consommation de pigeons en fait un atout non négligeable face à la prolifération de ces derniers. On a, de ce fait, installé d'autres nichoirs dans le clocher de la cathédrale."

D'après le progrès, dimanche 1er mars 2015